Grâce à la technique CRISPR-Cas9, on espère aboutir au traitement de personnes malades en ciblant les cellules des organes malades pour les « réparer ». Cette découverte a notamment suscité un élan autour de la thérapie génique c’est-à-dire la correction de maladies génétiques simples, sans intervenir sur l’embryon.
Déjà expérimentée chez la souris atteinte de maladies génétiques incurables comme la myopathie de Duchenne provoquant une dégénérescence des muscles, de nombreuses pistes thérapeutiques sont à l’étude sur la mucoviscidose, certains cancers, les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, l’hémophilie, la dystrophie musculaire et des affections héréditaires de l’œil, ou encore le virus du Sida.
Pour Alliance VITA, appliquée aux patients pour les soulager ou les guérir, cette technique est porteuse d’espoir, et il convient d’encourager ce type de recherche.